C'est toujours aussi épuisant de conduire, mais il n'y a pas d'autre moyen de livrer et de récupérer des tableaux !
Mais cela rend le retour à mon atelier très agréable ; le désordre, la peinture et les pinceaux, les toiles à divers stades de finition, l'odeur de la peinture à l'huile et des graines de lin qui sèchent lentement.
Et la pluie tapant sur le toit comme un million de piverts alors que le ciel s'assombrit de gros nuages plombés d'humidité.
Pourtant c'était aussi particulièrement bien pour aller à paris, malgré les embouteillages de fou qui débordent du périphérique et bloquent éternellement tout accès !
Ainsi, de nouvelles toiles ont été livrées. Je peux maintenant me détendre un peu et m'installer derrière mon chevalet dans le calme de mon atelier... mais hélas pas pour longtemps, car bientôt je dois repartir mais cette fois plus loin, avec un long trajet en voiture et une journée de le ferry, cette fois pour l'irlande, où le soleil brille toujours.
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